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Proverbe ne peut mentir. – C'est dans le besoin qu'on reconnaît ses vrais amis. – À bon appétit n'est point besoin de moutarde. – À bon chat, bon rat. – Contentement passe richesse. À bon entendeur, salut ! – Abondance de biens ne nuit pas. – À force d'aller mal, tout va bien. – À bonne lessive, saletés dans le caniveau, couleurs avec. – Vieille amitié ne craint pas la rouille. – À chaque oiseau son nid semble beau. – À chacun sa chacune. – À cœur vaillant rien d'impossible – L'espoir fait vivre. – Qui fait le malin tombe dans le ravin. Argent fait beaucoup mais amour fait tout. – À vingt ans ce qu'on veut, à trente ce qu'on peut. – Ce qui arrive à quelqu'un peut arriver à chacun. – La vérité sort de la bouche des enfants. – Qui sème le vent récolte la tempête. Il ne faut pas déshabiller Pierre pour habiller Paul. – Faute avouée est à moitié pardonnée. – Il n'y a que la vérité qui blesse. – Quand on n'a pas ce qu'on aime, il faut aimer ce qu'on a. – Bien mal acquis ne profite jamais
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    HISTOIRE DE LA JSK

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    HISTOIRE DE LA JSK Empty HISTOIRE DE LA JSK

    Message  Admin Sam Sep 18, 2010 4:09 am

    HISTOIRE DE LA JSK Nav_bas

    HISTOIRE DE LA JSK
    HISTOIRE DE LA JSK Team2003Naissance d'une legendeLorsqu'une poignée de jeunes sportifs eurent le mérite de créer en 1946, à Tizi-Ouzou , laJeunesse Sportive de Kabylie, ils ne se doutaient certainement pas quele club phare du Djurdjura allait dominer un jour le football algérienvoir même africain.
    En effet, que de chemin parcouru depuis 1946 où, durant l'époquecoloniale, la JSK dût végéter, tout comme les clubs musulmans d'alors,dans les divisions inférieures d'autant plus que dans les années 50,l'Olympic de Tizi-Ouzou (OTO), un club colonial, occupait, en Kabylie,le devant de la scène grâce à ses grandes ressources financières et sesnombreux privilèges administratifs.
    Comme tous les clubs musulmans , la JSK cessa toute activité durant laguerre de libération (1954-62) et ne ressuscita qu'en 1962, aulendemain de l'indépendance de l'Algérie.
    La JSK, malgré plusieurs joueurs de valeur tels que Terzi, Zeghdoud,Khalfi et Haouchine, végéta durant plusieurs saisons en Divisiond'Honneur aux côtés du WA Boufarik, de l'ASO Chlef, de l'USMMaison-Carrée, de l'OM Ruisseau, etc ...



    L'accession en Nationale IPuis vint alors la fameuse saison 1967-68 où la JSK des Kolli, Kouffi,Karamani, Ouahabi et autres Derridj put enfin accéder en Nationale II,sous la houlette d'un entraîneur de renom, le regretté Ali Benfadah, unex-joueur de la glorieuse équipe du FLN.
    Sur sa lancée, la formation kabyle fit un passage éclair en NationaleII, puisqu'elle accéda la saison d'après ( 1968-69 ) en Nationale I.Sous la direction du Français Jean Lemaître (1969-70) puis du regrettéAbdelaziz Bentifour (1970-71) remplacé, après son décès accidentel, parAbderrahmane Boubekeur, la JSK fit alors son apprentissage parmil'élite avant de bâtir une conquête du football algérien puis africain.
    Une période marquée par onze titres de Champion d'Algérie, un record àce jour, quatre Coupes d'Algérie, deux Coupes d'Afrique des ClubsChampions, une Coupe d'Afrique des Vainqueurs de Coupes , uneSuper-Coupe d'Algérie, uneSuper-Coupe d'Afrique et enfin 3 coupes de la CAF qu'elle remportasuccéssivement en 2000, 2001 et 2002.
    La JSK a donné au football algérien des joueurs de renom tels queArezki Kouffi, Driss Kolli, Mohand Chérif Hannachi, Rachid Dali, KamelAouis, Abdellah Djebbar, Mehdi Cerbah, Kamel Tahir, Mouloud Iboud,Bachir Douadi, Mahfoud Boukadoum, Abderrezak Harb , Salem Amri, MokraneBailèche, Arezki Meghrissi, Salah Larbès, Mourad Amara , AbdelhamidSadmi, Rachid Adghigh, Ali Fergani, Djamel Menad, Hakim Medane,Mustapha Anane, le regretté Hocine Amrous, Rabah Menguelti, RachidBaris, Ali Benlahcèn, Mahieddine Meftah , Omar Hamened , Nacer Bouiche, Moussa Saib , Aziz Benhamlat et tout récemment encore les jeunesBrahim Zafour et Farid Ghazi , tous d'authentiques internationaux.
    Par ailleurs, la JSK a été drivée par des coachs de renom tels que lesRoumains Popescu , Bazyl Marian ,Peter Matiga , le Hongrois Lenner ,les vielles gloires du football algérien Tahar Belhadj (ex-Le Havre),Belkacem Allouche (ex-AS St Etienne), Hacène Hamoutène (ex-MC Alger etFrance Olympique en 1948), le regretté Abdelaziz Bentifour (ex-OGC Niceet ex-FLN), Abderrahmane Boubekeur (ex-AS Monaco et ex-FLN), Amar Rouai(ex-Angers et ex-FLN), Mokrane Oualiken ( ex-Nîmes et ex-FLN ) sansoublier le tandem Mahieddine Khalef et le regretté polonais StéfanZywotko qui, en quatorze ans de règne (1975-89) marquèrent les plusbelles pages de la JSK.
    Ces dernières années, d'autres coachs bien connus, Nour Benzékri,Noureddine Saâdi, Djaâffar Harouni et Brahim Ramdani ont marqué de leurempreinte le parcours élogieux de la JSK.
    La saison 1997-98, voit Kamel Mouassa, un entraîneur sérieux etcompétent de Guelma, devenir le coach attitré de la JSK au sein delaquelle il va rebâtir une grande équipe .


      La date/heure actuelle est Ven Nov 15, 2024 1:44 am